Stationnement à Annaba
Au bord de l’asphyxie
19 Sep 2022 Annaba
224 fois
Au bord de l’asphyxie
Le centre-ville du chef-lieu de la wilaya d’Annaba est devenu un point noir en termes de circulation routière et de stationnement. L’affluence routière dans l’axe principale de la ville empire de jour en jour. Entre des ruelles étroites, des piétons marchant sur la chaussée ou des vendeurs à la sauvette prenant les espaces dédiés au stationnement, les automobilistes peinent à circuler et à se stationner. Par ailleurs, des « parkingueurs », dont la majorité n’a pas d’autorisation délivrée par la municipalité, n’hésitent pas à demander de l’argent aux conducteurs qui comptent se garer. Parmi les endroits qui se sont retrouvés sous l’emprise de ce « business » figurent notamment les rues d’Emir Abdelkader, Asla Hocine, Tarik Ibn Ziad, Khemisti Mohamed et Boulevard Boukhtouta Hocine. En effet, de cent à 200 dinars la place de parking, certains citoyens s’y sont habitués étant donné qu’ils travaillent au centre-ville. Ces mêmes habitués déclarent débourser pas moins de 2.000 dinars en frais de stationnement quotidien. D’autre part, le stationnement sur les trottoirs est devenu un phénomène courant, particulièrement au cœur de la ville. C’est le cas, par exemple, de l’espace à proximité du Centre d’affaires méditerranéen, se trouvant sur le prolongement du Boulevard d’Afrique. Il y a lieu de signaler qu’aucune interdiction ou de prise en considération n’a été envisagée par les services concernés. Des voitures sont garées de part et d’autre, gênant les passants. Ces derniers se retrouvent dans l’obligation de se faufiler entre les voitures ou de risquer de descendre vers la route afin de se créer un chemin. Il importe de noter que ce problème ne se règlera pas en un jour. Cependant, quelques directives radicales doivent être prises afin de diminuer un tant soit peu les embouteillages ainsi que le problème du stationnement au centre de la ville.
K.Khadidja Rayenne
Les Commentaires
Au bord de l’asphyxie
19 Sep 2022 Annaba
224 fois
Au bord de l’asphyxie
Le centre-ville du chef-lieu de la wilaya d’Annaba est devenu un point noir en termes de circulation routière et de stationnement. L’affluence routière dans l’axe principale de la ville empire de jour en jour. Entre des ruelles étroites, des piétons marchant sur la chaussée ou des vendeurs à la sauvette prenant les espaces dédiés au stationnement, les automobilistes peinent à circuler et à se stationner. Par ailleurs, des « parkingueurs », dont la majorité n’a pas d’autorisation délivrée par la municipalité, n’hésitent pas à demander de l’argent aux conducteurs qui comptent se garer. Parmi les endroits qui se sont retrouvés sous l’emprise de ce « business » figurent notamment les rues d’Emir Abdelkader, Asla Hocine, Tarik Ibn Ziad, Khemisti Mohamed et Boulevard Boukhtouta Hocine. En effet, de cent à 200 dinars la place de parking, certains citoyens s’y sont habitués étant donné qu’ils travaillent au centre-ville. Ces mêmes habitués déclarent débourser pas moins de 2.000 dinars en frais de stationnement quotidien. D’autre part, le stationnement sur les trottoirs est devenu un phénomène courant, particulièrement au cœur de la ville. C’est le cas, par exemple, de l’espace à proximité du Centre d’affaires méditerranéen, se trouvant sur le prolongement du Boulevard d’Afrique. Il y a lieu de signaler qu’aucune interdiction ou de prise en considération n’a été envisagée par les services concernés. Des voitures sont garées de part et d’autre, gênant les passants. Ces derniers se retrouvent dans l’obligation de se faufiler entre les voitures ou de risquer de descendre vers la route afin de se créer un chemin. Il importe de noter que ce problème ne se règlera pas en un jour. Cependant, quelques directives radicales doivent être prises afin de diminuer un tant soit peu les embouteillages ainsi que le problème du stationnement au centre de la ville.
K.Khadidja Rayenne
Il faut favoriser le transport en commun et le vélo!.