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Stations de dessalement de l’eau de mer de Corso et de Cap Djinet Arkab veut accélérer la cadence Le ministre

Publié le 30/03/2023
Stations de dessalement de l’eau de mer de Corso et de Cap Djinet Arkab veut accélérer la cadence Le ministre de l’Énergie et des Mines, Mohamed Arkab, a appelé à élaborer un plan d’action basé sur l’intensification des travaux. Le dessalement : une option stratégiqueLe dessalement : une option stratégique Deux nouvelles rafraîchissantes en ces temps de stress hydrique pour les habitants et les hôtes de la capitale et de Boumerdes. La première c'est que la station de dessalement de Corso est attendue en mai prochain. La deuxième concerne les travaux de réalisation de la méga-station de Cap Djinet prévus dans la même wilaya de Boumerdès, viennent d'être lancés. La coulée du béton de la méga-station de dessalage de l'eau de mer de Cap Djinet, a, en effet, débuté avant-hier. Une fois opérationnelle, sa capacité de production sera de près de 300 000 m3 d'eau/jour. Ce projet, attendu d'être livré en décembre 2024, s'inscrit dans le cadre du Plan de développement du président de la République (2022-2024), portant réalisation de cinq stations similaires à Oran, Béjaïa, El Tarf, Boumerdès et Tipaza, lesquelles sont dotées de la même capacité. Ces méga-stations, aux capacités énormes, contribueront à l'approvisionnement en eau potable et à la résolution du problème de l'eau. La Sdem de Cap Djinet est d'ailleurs destinée à l'alimentation et à l'amélioration des capacités en eau potable des habitants de Boumerdès et de la capitale. Ce projet sera réalisé sur une superficie de 16 ha, non loin de la Sdem de ladite commune, entrée en exploitation en 2011. Le ministre de l'Énergie Mohamed Arkab, a indiqué que ce projet est important et vital pour Boumerdès et les wilayas voisines. «Il s'agit de l'une des plus grandes Sdem, en réalisation, à l'échelle nationale», a-t-il ajouté. Cela avant d'insister sur la nécessité de «renforcer et d'accompagner les équipes de travail sur le terrain, en vue de réduire les délais de livraison du projet». «Les projets des Sdem, actuellement en réalisation, à travers le pays, sont de nature à assurer la satisfaction de 65% de la totalité des besoins de l'Algérie dans le domaine», a souligné le ministre. Le pays consomme actuellement 11,3 md m3 d'eau annuellement, extraits de différentes sources, nappes phréatiques, barrages, forages, stations de dessalement. Rappelons par ailleurs, que les chantiers de réalisation de deux autres projets de méga-stations, confiés au groupe public, Sonatrach, ont été installés fin 2022 à Bejaïa (Tighremt-Toudja), et El Tarf (Koudiet Eddraouch). Le ministre de l'Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a, par ailleurs, appelé l'entreprise en charge de la réalisation de l'installation de dessalement de l'eau de mer à Corso à redoubler d'efforts pour la livraison du projet et sa mise en service à fin mai prochain. Arkab a appelé les responsables du projet de réalisation à élaborer un plan d'action basé sur l'intensification des travaux, la programmation des différentes opérations d'essai du projet avant sa mise en service, en sus d'un autre plan dédié à l'installation des équipements, et un autre pour la première et la deuxième étape de production, afin d'éviter les retards. Ce projet vital, d'une capacité de production de 80 000 m3/par jour, permettra de «consolider» les capacités d'alimentation en eau potable des habitants des parties ouest et nord de la wilaya, outre le côté est d'Alger, selon les explications fournies au chef du département de l'Énergie et des Mines. Cette nouvelle station sera réalisée sur une superficie de six hectares le long du littoral de la commune de Corso, pour une enveloppe de 17, 6 milliards DA. Elle pourra assurer des services sur une période de 30 ans. Certes, ce n'est pas demain la veille de voir l'eau couler h 24 des robinets de ces wilayas, mais, le calvaire de l'été 2021 est derrière leurs habitants et il devrait rester dans les annales, comme un mauvais souvenir, notamment après l'entrée en service de la station de Corso d'ici deux mois. Dans ce sillage, notons également qu'une certaine disparité d'approvisionnement en eau a été constatée après l'entrée en production de la station de dessalement de l'eau de mer de Bordj El Kiffan et de Bateau cassé, en avril 2022. Les quantités produites avaient permis d'offrir une appréciable capacité supplémentaire qui s'élève à plus de 10 000 m3/jour. Néanmoins, cela reste encore insuffisant afin de répondre aux besoins des Algériens. Mohamed AMROUNIMohamed AMROUNI 00:00 | 30-03-2023 Share
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Les Commentaires

IL FAUT ACCELERER LES CHANTIERS AU PLUS VITE CAR L'EAU DEVIENT DE PLUS EN PLUS RARE! PAS BESOIN DE REFLECHIR "IL FAUT FONCER ET FAIRE LE PLUS VITE"

NOTRE VIE EN DEPEND DU DESSALEMENT D'EAU DE MER POUR ETANCHER LA SOIF DE TOUT LE PEUPLE ALGERIEN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
NOS BARRAGES NE SUFISENT PLUS TOUT JUSTE A PEINE POUR ERRIGUER NOS SEMENCES? NOS USINES D'EAU DE MER DEVIENNE "VITALE"?.
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