Les policiers en patrouille dans les rues de la Cité Auzas, ce mardi 12 mars, avaient tiqué en apercevant un individu âgé de 43 ans, qui leur paraissait suspect. Son aspect avait de quoi les attirer car il semblait vouloir cacher des «choses». Abordé avec politesse, on lui avait demandé de décliner son identité avant qu’il ne soit passé à une palpation en bonne et due forme. Les agents de l’ordre ne se trompaient pas, il détenait trois plaques appelées «mechta» de comprimés psychotropes «Kyetil» ainsi qu’un morceau de cannabis. De plus une grosse somme d’argent se trouvait dans ses poches car il s’agissait de pas moins de 9 millions 400 mille centimes. Produit de ventes antérieures ? Cela n’empêche pas les policiers de comprendre qu’ils avaient affaire à un dealer de quartier. Ce genre d’individus passe son temps à empoisonner les jeunes en leur cédant ces produits prohibés, l’essentiel pour eux est de récolter des dinars et peu importe l’âge de l’adolescent, ni le souci qu’il devienne un accro pour ces médicaments destinés uniquement aux malades mentaux mais transforment un être sain en un animal sauvage, capable d’agresser et même de tuer.
L'EST - 16/03/2013 - Ahmed Chabi
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