Les 5 nouvelles instructions de Djerad

Le premier ministre Abdelaziz Djerad veut relancer l’industrie cinématographique en Algérie, délaissée depuis pendant plusieurs années par l’ancien régime.

Ce jeudi 10 juin 2021, le premier ministre a présidé un Conseil interministériel dans le cadre de la relance de l’industrie cinématographique en Algérie. Le conseil a été organisé sur instructions du président Tebboune pour le développement de le secteur.

« La réunion a permis d’identifier les problèmes rencontrés dans ce domaine et de dégager un plan d’action à même d’asseoir une véritable industrie cinématographique et de créer une dynamique économique autour de cette activité », lit-on dans un communiqué des services du premier ministre.

Les instructions du premier ministre

En effet, lors du Conseil interministériel, Djerad a donné plusieurs instructions aux responsables des secteurs de la culture et du cinéma. Le premier ministre a ordonné la mise en place d’un groupe de travail multisectoriel, élargi aux experts et aux professionnels du cinéma, chargé de proposer les adaptations nécessaires à apporter aux instruments juridiques et à l’organisation institutionnelle régissant l’activité cinématographique.

Abdelaziz Djerad a également ordonné l’élaboration, dans les plus brefs délais, un projet de décret exécutif permettant le transfert des salles de cinéma, gérées actuellement par les collectivités locales, vers le ministère de la Culture et des arts.

D’autres instructions de Djerad

L’évaluation de l’efficacité des dispositifs financiers de soutien direct et indirect à l’industrie cinématographique en vue de les adapter aux besoins de la nouvelle stratégie dans ce domaine et d’encourager la participation du secteur privé dans la chaine des valeurs de l’industrie cinématographique, à savoir : la production, la distribution et l’exploitation.

Le lancement, à travers tout le territoire national, une opération de recensement des espaces pouvant servir d’assiette pour la réalisation de studios de cinéma et enfin l’élargissement de l’offre de formation professionnelle dans les métiers du cinéma en augmentant les spécialités et en modernisant les équipements pédagogiques nécessaires.

"Message à M. le premier ministre"

Dans notre pays beaucoup de nos jeunes sont au chômage un problème majeur qu'il faut résoudre ! que de chercher a relancer l'industrie cinématographique en Algérie! il faut sortir de votre bureau plus souvent et d'aller découvrir les vrais problèmes de nos jeunes chômeurs et d'essayer de les résoudre sur le tas!...Hélas on constate que vous êtes un vrais bureaucrate vous préférez votre fauteuil en cuir et votre bureau climatisé entourez de vos secrétaires que d'aller affronter les vrais problèmes comme on dit "C'EST AU PIED DU MUR QU'ON VOIT LE MACON".

"Ouargla : les jeunes chômeurs manifestent à nouveau"

Par Cherif LAIB -
mardi 8 juin 2021




Le chômage devient une problématique très inquiétante en Algérie notamment dans les régions du Sud, où les jeunes chômeurs continuent de faire parler d’eux depuis quelques mois, en organisant des mouvements de protestation.

En effet, marginalisés, bafoués dans leurs droits, les jeunes chômeurs de la wilaya de Ouargla ont décidé de s’organiser à nouveau et de prendre leur destin en main.





Ils étaient des dizaines, voire des centaines, de jeunes sans emploi, de tous âges et niveaux, venant des quatre coins de la grande-Ouargla, à répondre présents à l’appel lancé par des militants à travers les réseaux sociaux, pour protester contre la situation sociale misérable, dont le chômage, la marginalisation et de favoritisme.

Plusieurs revendications

Les protestataires ont réclamé dans leur requête l’ouverture d’une enquête aux fins de lever le voile sur les agissements, qualifiés de « douteux, d’ambigus et de carrément malhonnêtes», de certains acteurs de l’emploi, notamment ceux qui gérèrent les offres d’emplois émanant les filiales de la Sonatrach par l’antenne locale de l’Anem.

Devant des revendications de la jeunesse, liées à l’emploi et au logement, les services concernées répondent par la répression et l’interdiction du droit de manifester pacifiquement. Des arrestations à l’intimidation, en allant jusqu’à la poursuite des militants devant la justice.

Ces jeunes réclament donc également le respect de la liberté de manifestation pacifique.

"un premier ministre"

qui sonne le "CREUX" il faut le remplacer au plus vite par "UN VRAI BATTANT" qui fait tomber sa veste et sa cravate et qui retrousse ses manches pour rencontrer nos jeunes chômeurs les écouter et de les aider à avoir un travail avec un salaire digne pour des jeunes qui veulent construire un foyer familiale !.