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Qui vole un œuf n'est pas celui qui vole un bœuf !

Publié le 13/09/2022
Qui vole un œuf n'est pas celui qui vole un bœuf ! MAÂMAR FARAH PUBLIÉ 13-09-2022, 11:00 T'as le gars qui a publié un article sur la datte dans Echorouk. Il est en prison mais n'a rien à proposer pour un traitement à l'amiable ! T'as le gars qui a cassé les dents de sa femme, celui qui a braqué un bijoutier, le maraudeur qui a terrorisé la vieille du 3e étage, le chauffard qui est rentré dans un panneau publicitaire, le gars éméché qui a fait du tapage nocturne... Tous purgeront leurs peines ! Et les Haddad, Tahkout, Kouninef, ces chefs de l'oligarchie qui ont fait tant de mal à notre économie, seront-ils traités de la même manière ? On dit qu'ils vont utiliser leurs milliards pour acheter une place dans le box de «l'amiable» ! Pourtant, la justice algérienne n'a jamais mangé de ce pain-là. Elle n'a jamais libéré le riche et gardé en prison le pauvre ! Serait-elle sur le point de changer ? M. F. Placeholder MAÂMAR FARAH PUBLIÉ 13-09-2022, 11:00
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Qui vole un œuf n'est pas celui qui vole un bœuf !
Placeholder
MAÂMAR FARAH
PUBLIÉ 13-09-2022, 11:00
T'as le gars qui a publié un article sur la datte dans Echorouk. Il est en prison mais n'a rien à proposer pour un traitement à l'amiable ! T'as le gars qui a cassé les dents de sa femme, celui qui a braqué un bijoutier, le maraudeur qui a terrorisé la vieille du 3e étage, le chauffard qui est rentré dans un panneau publicitaire, le gars éméché qui a fait du tapage nocturne... Tous purgeront leurs peines ! Et les Haddad, Tahkout, Kouninef, ces chefs de l'oligarchie qui ont fait tant de mal à notre économie, seront-ils traités de la même manière ? On dit qu'ils vont utiliser leurs milliards pour acheter une place dans le box de «l'amiable» !
Pourtant, la justice algérienne n'a jamais mangé de ce pain-là. Elle n'a jamais libéré le riche et gardé en prison le pauvre ! Serait-elle sur le point de changer ?
M. F.

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MAÂMAR FARAH
PUBLIÉ 13-09-2022, 11:00
La justice doit libérer au plus vite le journaliste qui n'a fait que son travail de nous informer!...

Peut-on encore faire du journalisme en Algérie ? Des professionnels du secteur se posent la question après l’incarcération surprise, jeudi 8 septembre, de Belkacem Houam, du quotidien arabophone Echorouk, suite à un article portant sur le renvoi des dattes « deglet nour » (notamment en France) en raison de la présence d’un pesticide interdit dans l’Union européenne.

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Il pique une aiguille dans une banane. Regarde ce qui se passe ensuiteLa datte « deglet nour », chouchou des Algériens, se cherche une porte de sortie
L’article, paru mercredi, rapportait des critiques d’exportateurs, non cités nommément, à propos de la gestion de l’usage des pesticides par les autorités. Il indiquait également qu’une décision d’arrêt « immédiat » des exportations des dattes avait été prise par le ministère du commerce. Celui-ci a réagi le jour même, dénonçant un article « basé sur des informations injustifiées, dénuées de tout fondement et attentatoire à l’économie nationale et à la richesse que recèle le pays ». Il a annoncé dans la foulée qu’il allait prendre « toutes les mesures nécessaires à l’encontre de l’auteur de l’article et du journal concerné, dont les poursuites judiciaires devant les juridictions compétentes ».

Vidéo associée : La France et l’Algérie relancent « un partenariat spécial et exhaustif»


Le journal « Echorouk » a fait l’objet d’un refus d’impression à l’imprimerie d’Etat

Les mises au point du ministère du commerce et, plus tard, du ministère de l’agriculture semblaient suffisantes pour clore le sujet, mais les choses vont s’emballer de manière inattendue. Alors que le journal Echorouk faisait jeudi l’objet d’un refus d’impression à l’imprimerie d’Etat, Belkacem Houam, convoqué par la justice, était placé en détention préventive à la prison d’El Harrach, à Alger.

De trois à trente ans de prison
La nouvelle a provoqué la sidération générale. « Jamais un journaliste ne doit aller en prison pour cela », s’indigne le site d’information Twala, tandis que Khaled Drareni, représentant de Reporters sans frontières (RSF) en Afrique du Nord, appelle à la libération du journaliste en rappelant que la Constitution algérienne dispose que « le délit de presse ne peut être sanctionné par une peine privative de liberté ». « C’est l’intégrité physique du professionnel du média qui, désormais, est immédiatement en jeu », écrit Ihsane El-Kadi, directeur de Radio M et de Maghreb Emergent, condamné en juin à six mois de prison ferme pour un article d’opinion sur la place du mouvement islamo-conservateur Rachad sur l’échiquier politique.

En Algérie, le journaliste Ihsane El-Kadi condamné à six mois de prison ferme
Belkacem Houam est poursuivi en vertu d’une loi « relative à la lutte contre la spéculation illicite ». Promulguée en décembre 2021, durant la crise du Covid-19, celle-ci incrimine notamment « la diffusion de nouvelles ou d’informations fausses ou calomnieuses propagées sciemment dans le public afin de provoquer une perturbation du marché et une hausse subite et non justifiée des prix ». Il encourt une peine allant de trois à trente ans de prison. Tétanisés par la nouvelle, des journalistes ont appelé à un rassemblement à la maison de la presse Abdelkader-Safir de Kouba, à Alger, mercredi 14 septembre.

L’ancien ministre de la communication Abdelaziz Rahabi s’est dit « choqué », alors que l’affaire aurait dû être traitée par un démenti « dans les formes en usage dans tous les médias du monde moderne ». La mise en détention d’un journaliste pour une information de « pure nature commerciale », estime M. Rahabi, traduit la « persistance de l’instrumentalisation politique de la justice et relève de pratiques d’un autre âge ». Pour l’ancien ministre, il ne s’agit pas d’un « acte isolé », mais d’une politique qui réduit le champ médiatique « à sa plus simple expression de porte-parole de la voix officielle, sans impact réel sur une opinion publique avertie et plus mondialisée que ses dirigeants ».


Notre justice agit très mal contre nos journalistes! il n'y a plus de liberté?

En gros tu fermes ta bouche ou bbien on t'envoit à la
Notre justice agit très mal contre nos journalistes! il n'y a plus de liberté?

En gros tu fermes ta bouche ou bbien on t'envoit à la
"G O U L A G"! dérive totale de la justice?

A SAVOIR:

Des risques sur le système hormonal, immunitaire et même des effets neurologiques En plus d'affecter le système reproducteur, les pesticides sont des perturbateurs endocriniens : ils dérèglent le système hormonal
Quels sont les effets des pesticides sur la santé humaine et l’environnement?
Les pesticides étant destinés à détruire des organismes vivants, ils sont susceptibles d’avoir des effets sur la santé humaine et l’environnement. Leurs effets sanitaires peuvent être aigus (immédiats) ou chroniques (à long terme).
Quels sont les risques des pesticides?
Pesticides : les vrais risques pour la santé | Santé Magazine Les pesticides sont largement utilisés en agriculture et à la maison. Ces produits chimiques sont soupçonnés dans de nombreuses pathologies.
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