Ce qui n’est pas le cas, notamment sur les boulevards Bouali Saïd et de l’Afrique. Le premier, avec sa cité populaire, ses deux lycées, sa gare routière inter urbaine et inter wilayas, et la mosquée Sidi Brahim, représente un danger permanant. Même chose pour le second, très fréquenté de jour comme de nuit, par des milliers d’automobilistes et de piétons. Une plaque « Attention radar » y a été installée, mais c’est l’effet contraire qui se produit, comme si on avait incité les chauffards à faire davantage de vitesse. Le comble est que la majorité des accidents sont survenus à quelques mètres de la sûreté urbaine, avec la présence de quatre rangées de ralentisseurs. A propos, existe-t-il réellement des radars ? On est tenté de répondre par la négative si l’on se réfère à l’allure des autobus desservant les lignes inter urbaines, lesquels, pleins de voyageurs, en majorité des travailleurs, lycéens et étudiants, se transforment en bolides.
El watan > 22/02/09 >
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