La rareté de la sardine sur les étals des poissonniers de Annaba se fait cruellement sentir ces jours-ci auprès de la population locale, particulièrement les petites bourses qui ne peuvent s’empêcher de faire un tour au marché Francis ou Hattab espéranrt y trouver ce poisson bleu dit «le plat du pauvre». La sardine prend des ailes avec un prix qui ne veut pas descendre au-dessous des 300 DA. Même dans la pêcherie communale la sardine a disparu et cela dure depuis un mois. Un marin-pêcheur explique que la rareté de la sardine est due aux conditions météorologiques mais également à la méthode archaïque utilisée par les pêcheurs, ajoutant que ces derniers ont besoin d’une initiation aux techniques modernes de pêche notamment celle appelée «pelagique», c’est à dire en haute mer.
Le Midi Libre > 22/03/09 > A. A. B.
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