Les réseaux d’éclairage public sont, dans leur majorité, défaillants au chef-lieu de commune de Sidi Amar. Cette situation perdure depuis un certain temps sans susciter la réaction ni des élus ni celle des pouvoirs publics.
Les cités de Chaïba, du 19 juin 1965, du 1er Mai et de l’AADL pour ne citer que celles-ci, sont plongées dans l’obscurité. Le principal boulevard Issat Idir qui traverse le chef-lieu de commune, ainsi que le chemin de wilaya qui passe près de la cité Chaïba, sont devenus des lieux à risque en l’absence d’éclairage public. La défectuosité des réseaux d’éclairage public n’est pas la seule tare de Sidi Amar. Cette dernière fait face à l’accumulation des ordures ménagères, à l’errance des animaux et aux fuites d’eau.
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