La précipitation dans laquelle se produit la saisie informatique des documents d’état civil à partir des registres, est à l’origine de milliers d’erreurs, et voilà plusieurs mois que les procureurs se relayent dans les tribunaux pour procéder à la correction qui se fait obligatoirement par jugement. Un travail de titan et un vrai chemin de croix pour les citoyens-pratiquement tous- victimes de ces erreurs. La raison, comme nous l’a appris une fonctionnaire de ce service, c’est le fait d’avoir attaché à ce travail des jeunes sans formation, et de leur avoir imposé un rythme de travail stressant, à raison de 150 documents à saisir par jour et par personne. « Certaines pièces ne comprennent que le nom, le prénom, et la date de naissance. Toute la filiation est absente, et il faut l’ajouter à chaque fois. Les erreurs les plus grossières ont été constatées. Des hommes portent des noms de femmes, des femmes sont déclarées mariées avec une mère ou un père, etc… Mais les erreurs les plus nombreuses, sont constatées dans la syntaxe des noms et même des prénoms, pourtant très courants pour la plupart. Le pire ce sont les traductions des livrets de famille écrits en français. C’est une véritable catastrophe ». Ces accros dans les pièces, en particulier les certificats de naissance suscitent la nécessité pour les « victimes » de ces agents, le recours au jugement pour rectifier non seulement l’erreur portée sur le certificat de naissance, mais aussi, par ricochet, les extraits de mariage, et celui de la naissance des enfants ». Les procureurs sollicités, pour aller plus vite, procèdent à la rectification simultanée de toutes les pièces en une seule opération. Mais quand le plaignant (ou la plaignante) ne ramènent avec eux qu’une seule pièce, le chemin est long pour voir la fin de qui est devenu un véritable cauchemar. La scène qui a eu pour théâtre la semaine passée le service des extraits d’actes de mariages de la commune illustre le chemin de croix supporté par les citoyens. Une dame venue de France pour rectifier ses papiers, a brusquement éclaté en sanglots dans ce bureau, après trois mois de démarches, sans pouvoir rectifier son certificat d’état civil. « On m’a ballottée d’un service à un autre, et là où je vais, on me reçoit mal, c’est tout juste si je ne suis pas insultée. Certains m’ont demandé de l’argent », devait elle déclarer entre deux sanglots, habituée à être traitée en vraie citoyenne de l’autre coté de la Méditerranée. Apitoyé, le chef de ce service s’empressa de lui venir en aide. Il faut ajouter que, juste après le passage chez le procureur, il faut aller au commissariat le plus proche avec deux témoins pour certifier l’authenticité de la filiation. Mais après cela, il faut attendre au bas mot deux à trois mois, pour que le document en question arrive enfin au parquet, pour que la personne concernée puisse le récupérer. Il est indéniable que les personnes préposées à ce travail de saisie n’ont pas le niveau requis pour faire ce travail qui demande, outre une formation suffisante, un sérieux et une attention certains. D’énormes pertes de temps et d’argent découlent de cette précipitation, surtout quand les personnes habitent à des milliers de kilomètres de la ville où elles sont nées. Qu’ils soient envoyés par poste ou délivrés au guichet, la colère et le désappointement des citoyens ne trouvent qu’une réponse : « il faut rectifier l’erreur par jugement. » Le calvaire commence alors quand il faut se lever à cinq heures pour rejoindre les longues filles devant le tribunal…
L'EST - 15/09/2013 - Farida H.
Les Commentaires
ce foutu papier qui nous suis comme un pot de colle par tous ou en bouge
mais j'ai une solution a ce problème et il suffit que le procureur écrie que toute personne qui revient encore une fois pour rectification sur un extrait de naissance dont il a fait objet de correction l'agent designer pour la correction au niveau de l'APC du document initiale sera passible de prison de 06 mois ferme sans jugement
ENTA ENTAKHABT A3LIH et dourka ettayeh fih
khalih y mout fi salama Allah le supreme yastakbalou bi kouli ma lazem (Ennar ouala ejjana) on ne sais pas . Ghir Allah soubhanou ya3lem . Allahou Akbar
Bon retour parmi nous ya Bled, ta présence nous manquait un peu pour l'ambiance de notre site, on aimerait te lire un peu plus souvent.
et comme en na pas eu l'occasion de ce connaitre je vais me montrer polie et vous souhaiter la bienvenu bled
règle n°1/ celui qui ramène un plus et la bienvenu
règle n°2/ celui qui me cherche me trouve
règle n°3/je ne croie pas de vous avoir informe pendant le vote ma voie a qui elle a était destiner
règle n°4/ j'ai appris que si un jour je donne ma voie sa ne sera que pour un candidat féminin puisque les homme sont ailleurs
règle n°5/quant en arrive a un certain age en arrête le NIFAK ey un chat reste un chat et pas autre chose
monsieur BLED je vous souhaite encore une fois la bienvenu et mille excuses pour cette écrie aciduler mais cette article parle d’extrait de naissance 12 de mes deux enfants qui ma emmerder pendant toute une année