Cinquante (50) cas de victimes de violences sont traités quotidiennement au centre hospitalier universitaire (CHU) de Annaba.
C’est ce qui a été révélé lors des troisièmes journées de médecine légale, organisées à la faculté de médecine de l’université Badji Mokhtar. «L’amélioration de la prise en charge des victimes de violences devrait obéir à la mise au point d’un protocole de travail en rapport avec l’exercice de la médecine dans le but de situer les responsabilités», ont insisté des praticiens spécialistes dans le domaine. La recherche scientifique et les perspectives de promotion de la médecine légale ont également été abordées lors de ce rendez-vous médical auquel ont participé des médecins de diverses régions du pays.
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