Elles sont quelque 1200 familles de la cité Sidi Harb qui se disent oubliées par les autorités locales. Ils dénoncent les conditions dans lesquelles ils vivent, les qualifiant d’indécentes. Les multiples écrits adressés aux responsables locaux sont restés, selon eux, lettre morte ; de ce fait, ils sont contraints de vivre dans la précarité. Durant les dernières intempéries, les habitations de fortune les abritant se sont écroulées l’une après l’autre. « Beaucoup de nos enfants sont atteints de maladie à transmission hydrique, asthme, allergies, etc., ajoutant à notre misère d’autres frais de soins médicaux auxquels nous ne sommes pas en mesure de...
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