C’est parce qu’il a répondu à l’appel de Bouteflika et a dénoncé des malversations et trafic de tout genre, liés aux finances des œuvres sociales du CHU Ibn Rochd, et sollicité l’intervention de l’IGF, que Ali Chabour, le représentant du Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (Snapap) à Annaba s’est attiré les foudres de l’administration locale, à sa tête Tahar Melizi, l’ex-wali, et Abderahmène Saïdia, le directeur général du CHU Ibn Rochd. Influents, ces derniers auraient juré par tous les saints de « le réduire à néant ». Doté d’une volonté, celle animant les rares hommes intègres du pays,...
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