« Tout ce que nous savons, c’est qu’en notre présence, les champs traités aux pesticides reçoivent exactement la quantité nécessaire, mais nous ne pouvons nous prononcer sur ce qui se passe en notre absence ». C’est ainsi qu’une fonctionnaire de l’inspection agronome d’El-Hadjar rencontrée au centre de santé Larbi Khrouf, devait nous expliquer que l’excès de pesticides qui se trouverait dans les fruits et légumes soumis à la consommation, et reproché par des agents des services d’hygiène, ne relevait pas de sa responsabilité, ni de celle de l’Inspection. Pourtant, les agents que nous avons rencontrés maintiennent mordicus que « pour...
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