En raison de la misère au quotidien, l’un des plus beaux villages et l’une des premières communes du pays, en l’occurrence Chétaïbi (Annaba), est fui par les siens. D’abord, par les aînés, qui ont déjà montré le chemin, dans les années 80, et tant pis s’ils ont opté pour le béton des « HLM » et la pollution industrielle. Maintenant, c’est au tour de jeunes qui n’ont de rêve que pour « El-Harba » - la fuite-. D’ailleurs, face à la privation au quotidien, même ceux qui vont à l’université et aux lycées de Annaba et de Berrahal ne voudront plus revenir. Véritable havre de...
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