Hormis les premiers jours, la boulimie pour les achats qui caractérise habituellement le mois du jeûne, n’a pas eu lieu, cette année, à Annaba, au grand dam des commerçants. Souks, étals et magasins, qui ne désemplissaient pas en pareille période, sont moins fréquentés par le public en ce début du mois sacré. Certes, si les ménages ont trop dépensé en juillet et prévoient d’autres frais plus importants à l’occasion de la rentrée scolaire, il est, par contre, étonnant de constater un certain manque d’intérêt pour les achats de produits alimentaires, dont la demande augmente généralement durant le Ramadhan. Le marché...
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