Annaba était atterrée, hier, au coup de sifflet final de la rencontre qu’a disputée l’équipe nationale dans le chaudron cairote. Plus qu’autre chose, la ville donnait l’impression d’avoir été tétanisée par la déception, comme incapable de réagir et ce, pendant un long moment, bien après le match. La manifestation de joie que tout le monde espérait dans cette ville, où la fête battait son plein une semaine durant, a laissé la place à la consternation. La fête que les habitants de tous les quartiers sans distinction, femmes et hommes, jeunes et vieux, avaient appelée de tous leurs vœux, drapés des...
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